Ce qui a déjà été fait sur le sujet

Le meme a été théorisé par Richard Dawkins, biologiste, éthologiste et théoricien de l’évolution, dans son essai “The Selfish Gene”

L’étude des mème est surtout informative dans la mesure où elle nous renseigne sur la manière dont se transmet l’information : Afin de déterminer quels supports sont les plus efficaces, quel sont les formes les plus susceptibles d’être répliquées.

C’est dans ce but que Le NaN (Networks & agents Network) un groupe du CNetS (Center for complex Network and Systems Research, un département de l’université de l’Indiana) étudie à travers divers projets, la diffusion des mèmes, en particulier sur internet.

La première a permis la création de OSoMe (Observatory on Social Media), une plateforme permettant de visualiser la diffusion des mèmes sur les résaux sociaux en fonction du temps, à l’aide de cartes dynamique, de courbes de tendances, ou de reconstitution de réseaux d’échanges de mèmes.

La seconde quant à elle, finance une étude sur la propagation de l’information sur internet via le projet COSINE (Cognitive Online Simulation of Information Network Environments), qui vise à simuler un cadre afin d’étudier les phénomènes sociaux a toutes échelles géographiques et temporelles.

Dans quelles conditions

Le groupe a reçu plusieurs subventions d’importantes d’organisations nationales américaines, à savoir la Fondation Nationale pour la Science, et le DARPA, (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense »), d’une valeur de respectivement 1 million et 1,2 millions de dollars. Ces subventions montrent que les applications de la mémetique représentent un enjeu majeur pour les Etats-Unis d’Amérique.

Les points forts et faibles des travaux existants

Les deux projets ont un but statistique, donc ils prennent les donnes des reseaux et en développent le modèle de ce qui est passée mais les projets permettent de visualiser seulement ce qui’il est passé et pas de prevoir ou modeliser le fonction de ce phènoméne.